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Flashcards in Géomorpho dynamique Deck (82)
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1
Q

Relief

A

Forme qui se défini par la structure géologique

2
Q

Modelé

A

Forme en général plus petite qui se définit par rapport aux processus d’érosion.
Certaines de formes élémentaires (ravine ou cône de déjection) et d’autres de forme composite (glacis ou emboîtement de terrasses).

3
Q

Les objets d’études en géomorphologie dynamique

A
  • Modelés
  • Versants
  • Processus
  • Formation superficielle
  • Bilan morphogénique
  • Stabilité, instabilité,pénéstabilité
  • Crise, seuil, événement
  • emboîtements spatiaux
  • Échelles temporelles
  • Action anthropique
  • Aléas et risques
4
Q

Altération des roches

A

L’altérations de la roche, sa transformation sur place en un matériau meuble sur lequel se développent les sols et la vie et appelé météorisation ou weathering.
Elle résulte de 2 grands types de processus physiques et chimiques :
- désagrégation mécanique
- attaque chronique par l’eau
Les processus agissent souvent en combinaison.

5
Q

Actions biologiques et biochimiques

A

Toutes roches à tendance à être colonisée par des organismes.

  • Organismes élémentaires
  • Animaux
  • Végétaux
6
Q

Processus de fragmentation mécanique des roches

A

Il existe 4 grands types de processus :

  • thermoclastie
  • alternance humectation/dessication (hydroclastie)
  • haloclastie
  • cryoclastie
7
Q

Modelé karstique et forme

A
  • Lapièz/lapiaz
  • Dépressions fermées (dolines; ouvalas ; polje
  • Vallées sèche, gorge, canyon, corniche
8
Q

Altération chimique

A
  • Oxydation
  • Hydratation
  • Hydrolyse
9
Q

Mobilisation des débris sur les versants

A
  • Creeping/reptation
  • Eboulisation
  • Éboulement/Écroulement
  • Mouvement de masse
  • Solifluxion
  • ## Avalanche
10
Q

2 types de mouvement de masse

A
  • Glissement en plans ou en planche

- Glissement rotationnels

11
Q

3 types de solifluxion

A

1 localisée
2 laminaire
3 de type gélifluxion

12
Q

3 types d’avalanche de neige

A
  • Poudreuse
  • Humide
  • En plaques
13
Q

Actions éoliennes

A
  • Transport éolien
  • Ablation
  • Corrasion
  • Accumulation éolienne
14
Q

Produits de corrasion

A

Vertifacts ; yardangs ; kaluts

15
Q

Produits d’accumulation éolienne

A

Nebkhas ; Gass/Fedj ; Draa ; Barkhane

16
Q

L’eau précipitée sur les versants

A
  • Une partie est évaporée ou rejetée par les végétaux ETP (évapotranspiration)
  • Une autre pénètre les sols et alimente la réserve utile ou la nappe phréatique.
  • Une dernière ruisselle sur le sol et alimente les cours d’eau
17
Q

Action des eaux courantes sur les versants

A
  • L’eau dans les sols
  • Ruissellement élémentaire
  • Écoulement diffus à écoulement concentré
  • Ruissellement
18
Q

L’eau dans les sols

A
  • eau hygroscopique

- eau de rétention

19
Q

Ruissellement élémentaire

A
  • Ruissellement hortonien
  • OPS
  • Surface contributive saturée
20
Q

Écoulement diffus à écoulement concentré

A
  • Effet splash
  • Écoulement élémentaire
  • Écoulement turbulent
  • Écoulement concentré
21
Q

Écoulement fluvial

A
  • aréique
  • endoréique
  • exoréique
22
Q

Nombre de Reynolds (Re)

A
Re = (vd)/V
v = vitesse moyenne
d = profondeur
V = viscosité

Défini le seuil entre le passage d’un écoulement laminaire à turbulent

23
Q

4 types de style fluviaux

A
  • Rectiligne
  • Méandres
  • En tresses
  • Anastomosé
24
Q

Indice de Brice

A

Longueur du chenal/longueur de l’axe de la bande de méandre

Défini le seuil du passage d’un cours d’eau rectiligne à sinueux.

25
Q

2 types de méandres

A
  • libre

- encaissé

26
Q

Fjord

A

Vallée calibrée et creusée par le passage d’une langue glacière, sur toute sa longueur.
Exemple : Sanef Joden (Norvège)

27
Q

Conséquence de la foliation et linéation

A

Perte de cohérence, apparition de roche métamorphique et de météorisation.

28
Q

Diaclase

A

Différentes fracturation de la roche par activité tectonique.
Fissure d’une roche ou d’un terrain sans déplacement des deux blocs.

29
Q

Joint de stratification

A

Discontinuité séparant deux couches géologiques sédimentaires.

30
Q

Fracture

A

terme général qui désigne toute cassure avec ou sans rejet de terrains, de roches et même de minéraux.

31
Q

Ordre de vulnérabilité décroissante des éléments à l’altération

A

CA > NA > MG > K > SI > Al > Fe

32
Q

Ordre d’apparition des minéraux lors du refroidissement d’un magma

A

Olivine > Plagioclase > Pyroxène > Amphibole > Plagioclase

33
Q

Les types de reptation

A
  • thermique
  • hydrique
  • pluviale
  • biologique
34
Q

Débit (m3/s)

A
Q = S x V
Q = débit volumique
S = surface en unité carrée
V = déplacement linéaire
exemple :
Seine : 560 m3/s
Mississipi : 18 000 m3/s
Sahoura : 15 000 m3/s
La différence de débit viens essentiellement de la taille du bassin versant.
35
Q

Rayon hydraulique du cours d’eau

A
R = S/p
S = surface en unité carrée
p = périmètre mouillé

il donne des indices sur la rugosité des matériaux.

36
Q

Vitesse d’écoulement du cours d’eau

A
V = C racine carrée de RI
C = célérité (granulométrie et rugosité des matériaux qui influent sur le débit)
RI = pente du lit
37
Q

Puissance brute du cours d’eau (watts/m)

A
Oméga = yQJ
y = poids volumique de l'eau
Q = débit
J = pente en mm
38
Q

Il existe 3 force d’entraînement des sédiments dans les cours d’eau

A
  • gravité (pente)
  • force tractrice de courant (vitesse)
  • force ascendante (turbulences)
39
Q

Les types de terrasses

A
  • Étagées

- Emboîtées

40
Q

3 types de glaciers

A
  • Alpin
  • Alastien
  • Calotte glaciaire
41
Q

Bilan glacière

A

Dépend de l’énergie du mouvement du glacier, c’est la différence entre flux compressif et flux extensif, la glace est capable de remonter une pente par force en amont, à l’échelle mondiale le bilan est négatif.

42
Q

Écoulement et transport glaciaire : transport par glissement basale et déplacement interne

A

Sur le lit rocheux, l’ensemble de la glace se déplace de la même manière. Il y a un cisaillement qui se crée en fonction de la masse glaciaire sur le lit rocheux.

43
Q

Compétence de la glace

A

La glace peut transporter des matériaux, on parle de compétence (taille des matériaux qu’elle peut déplacer , ils ont potentiellement des compétences infinis)

44
Q

Érosion glaciaire : produits/modelés

A

Roche moutonnées
Stries/boutures
Cirques/verrou
Cannelures

45
Q

Névés

A

Neige éternelle

46
Q

Till de cisaillement

A

gros blocs de falaise, cisaillé et déplacé par la glace

47
Q

Versant

A

Forme élémentaire qui se traduit par une topographie plus ou moins plane qui joint un interfluve à une plaine alluviale ou à un talweg.

48
Q

Argile

A

Résultat d’hydrolyse des silicates : ce sont des silicates d’alumine hydratés de formule : nSiO2 Al3O3 mH20 de structure finement cristalline et sont dotées de propriétés colloidales.
Il y a plusieurs familles classées en rapport silice/alumine.

49
Q

Types d’argiles

A
  • Kaolinites 2si02 Al203 2H20
  • Monmorillonites 4Si02 Al203 2H20
  • Illites K,H3O Al,Mg,Fe2 SiAl4 O10OH2 H20
  • Attapulgites
50
Q

La météorisation

A

ensemble des processus mécaniques, physico - chimiques ou biochimiques qui fragmentent, désagrègent, ameublissent, et altèrent les roches.

  1. Discontinuités dans les roches (porosité, perméabilité, diaclases)
  2. Phénomènes mécaniques de décompression et de détente
  3. Météorisation mécanique (cryo-, hydro-, thermo-, haloclastie)
  4. Météorisation chimique (dissolution, hydrolyse)
51
Q

Exemple d’équation chimique d’hydrolyse

A

CaSi2Al2O8 + 2CO2 + 3 H2O = Al2Si2O5(OH)4 + Ca2+ + 2HCO3-

anorthite kaolinite

52
Q

Exemple d’équation chimique roche carbonaté

A

CaCO3 + impuretés + H2O + CO2 = Ca(CO3H)2 + résidu

CaCO3H)2+ : bicarbonate de Ca
C02 = agressif

53
Q

Mouvement complexe

A

dans des grès et des argiles Glissement rotationnel à l’amont se déstructurant en coulée vers l’aval.
Glissement

54
Q

LA MISE EN PLACE DES MODELES GLACIAIRES

A

Les mouvements des glaciers font de ceux-ci des agents d’érosion. En effet, les glaciers
façonnent le substrat sur lequel ils s’écoulent, polissant les roches dures, arrachant des débris, les transportant et les abandonnant au terme de leur course. Cette érosion glaciaire crée
donc des modelés originaux, dont la plupart n’apparaissent qu’après le recul ou la disparition
totale des glaciers. Mais, ces modelés diffèrent selon que le glacier creuse le substrat rocheux
ou dépose les matériaux arrachés

55
Q

Modelé glaciaire

A

. Quand l’alimentation et
l’épaisseur du glacier de cirque sont telles qu’il déborde de la cuvette initiale, la glace s’écoule
le long des pentes. Dans leur descente continue, les glaciers arrachent au fond du lit glaciaire
et sur les versants des blocs entiers, grâce aux fissures qui existent dans la roche. Transportant
ces matériaux, le glacier strie les galets et creuse des cannelures le long des parois, tandis
que la farine de roche, résidu de cette usure, émousse et polit les roches moutonnées
.De part et d’autre, des vallées affluentes se raccordent difficilement avec le fond de la vallée
principale : les ruptures de pente se signalent par des cascades et des gorges de
raccordement, tandis que de petites vallées restent suspendues vers l’aval et souvent
isolées.

56
Q

Gorge de raccordement

A

Gorge de raccordement (g.n. f.) : Après la fonte du glacier (retrait ou fonte totale), l’ex-réseau glaciaire,
devenu réseau hydrographique, est surcreusé et les vallées suspendues se raccordent au fond de la vallée par de profondes gorges de raccordement qui débouchent au fond de l’auge glaciaire.

57
Q

Verrou

A

lorsqu’un glacier de vallée
rencontre un obstacle au cours de sa progression (roche dure ou coude brutal de la vallée), il
le façonne un verrou « Un verrou est une colline rocheuse, aux formes arrondies, obstruant
en partie la vallée glaciaire et constituée d’une roche suffisamment dure pour que l’érosion
sous-glaciaire, malgré sa puissance, n’ait pu la faire disparaître » (Louis Reynaud).

58
Q

Ombilic

A

À l’amont des verrous, la vallée est surcreusée34 en dépression, occupée en général par une
plaine mais parfois par un lac, c’est un ombilic. C’est une dépression, cuvette provoquée par
le surcreusement d’une vallée glaciaire, parfois fermée par un verrou glacier. Ils ont souvent
été occupés par des blocs de glace qui, aux périodes postglaciaires, ont fondu pour donner
naissance à des lacs appelés “lacs d’ombilic” descendant la vallée, la
glace rencontrait des terrains de dureté variable. Elle érodait plus profondément les zones de
terrains tendres que celles de roches dures, modelant des ombilics dans les premières et des
verrous dans les secondes. Plus l’épaisseur du glacier augmentait au-dessus du banc de roches

34 Creusée au-dessous du niveau de la mer
LES AGENTS D’EROSION ET FORMES DE RELIEF 18 août 2014
12
tendres, plus la pression exercée par la glace y était importante, creusant donc de plus en plus
l’ombilic.

59
Q

Profil longitudinal de vallée glaciaire

A

Les langues ont façonné des vallées au profil longitudinal irrégulier. Dans le sens transversal,
le profil de ces vallées offre des flancs raides ; le remblaiement35 alluvial postglaciaire en
explique le fond plat : il s’agit de vallées ayant la forme d’un U ou auges glaciaires. Les auges
ne sont pas l’apanage des montagnes

60
Q

forme de dépôt

A

Les glaciers sont capables d’entraîner dans leur mouvement tous les objets qui tombent à leur
surface (cailloux anguleux des pentes rocheuses ou nunataks) ou qui sont arrachés aux parois
(cailloux polis, boue ou farine glaciaire). Ils ont une compétence illimitée, pouvant transporter
des blocs de plusieurs m3 donc de plusieurs tonnes sur de grandes distances.
Les débris tombant sur la zone d’accumulation sont peu à peu recouverts et entraînés vers la
base du glacier où ils alimentent la moraine42 de fond ; dans la partie médiane et en aval de
cette zone, ils sont incorporés dans la glace (débris intraglaciaires) et forment la moraine
interne ou médiane. Les débris tombant sur la zone d’ablation demeurent à la surface de la
glace et se déplacent plus vite s’ils se trouvent au centre de la langue glaciaire que sur ses
bords. Si la vitesse d’un glacier diminue vers l’aval, il peut être entièrement recouvert de
débris (glacier noir, par opposition au glacier blanc, qui est un glacier de cirque ou un
inlandsis).
Au moment de la fonte du glacier, les matériaux s’accumulent : ce sont des moraines. Dans
les glaciers de montagne, ces accumulations apparaissent en bordure, au milieu et sur le front
des glaciers ; les moraines comprennent des débris en cours de transport ou abandonnés lors
de la fonte ou du recul d’un glacier.

61
Q

Vallum morrainique

A

En avant du glacier, toutes les moraines superficielles, latérales et médianes se confondent
dans une moraine frontale en forme de bourrelet : le vallum morainique.. Celui-ci épouse la terminaison de la langue glaciaire ou de
l’inlandsis. En fondant, au cours de son retrait, le glacier abandonne plusieurs vallums
parallèles, qui retiennent souvent des lacs (exemple des lacs en bordure des Alpes).
Au-delà du glacier, les eaux de fonte étalent des alluvions en cônes de déjection fluvioglaciaires
, puis en plaines caillouteuses et sableuses, parcourues par des chenaux
proglaciaires très larges : les fleuves de l’Europe du Nord occupent d’anciens chenaux créés
en avant des glaciers quaternaires.

62
Q

Moraines lattérales

A

Déposées entre la marge d’un glacier et le versant qui domine le glacier

63
Q

Moraines médianes

A

résultant de la

coalescence de moraines latérales de deux langues glaciaires qui confluent

64
Q

Moraines frontales

A

A la terminaison des langues et qui dessinent parfois des vallums

65
Q

Fjell

A

plateau désenglacé

66
Q

Spécificité des processus en bordure de mer

A

1 Action mécanique (Vague/Houle/Estran)
2 Courant marins
3 Actions physico-chimiques et biochimiques

67
Q

Formes littorales

A
1 Forme d'ablation (types de falaises)
2 Forme d'accumulation (types de plages, dunes littorales)
3 Marais maritimes
4 Embouchures fluviales : estuaire/delta
5 Récifs coralliens
68
Q

Les courants induits par la houle

A

1 Dérive littorale
2 Courant d’underlow (retour au fond)
3 Courant d’arrachement

NE PAS CONFONDRE : underlow et downwelling, le downwelling résulte des mouvements des masses d’eau en fonction des températures

69
Q

Terrasses

A

Une terrasse est une forme de replat qui présente un sommet plat et ru rebord abrupt tourné vers le talweg. Elle est constitué de matériaux d’origine alluviale. Les terrasses sont des formes héritées résultant d’épisodes successifs de creusement et de remblaiement. Il existe plusieurs types de terrasses : étagées ou emboîtées.

70
Q

Lamothe et Déperet

A

géophysicien : les avaient qualifiées d’eustatique en expliquant leur formation par les mouvements du niveau de la mer.(Non valide dans les continents). Ce sont plutôt les grandes variations climatiques (glaciaire/tempéré, pluvial/aride) qui sont les causes principales de la créations des terrasses.

71
Q

Phase anaglaciaire/

A

Anaglaciaire : passage d’une période tempérée à une période froide, les T°C diminuent, les eaux sont stockés dans les glaciers, le niveau général des mers s’abaisse : à l’amont l’importante production de matériaux par cryoclastie et par destockage sur les versants dénudés conduit au remblaiement des vallées : à l’aval, les fleuves creusent pour rejoindre le niveau de la mer (plus bas).

72
Q

Phase cataglaciaire

A

Passage d’une période froide à une période tempérée, la fusion des glaces fournit de l’eau en abondance aux cours d’eau qui creusent les matériaux déposés lors de l’épisode précédent à l’amont tandis que l’aval connaît un remblaiement généralisé au fur et à mesure que le niveau des mers remonte.

73
Q

Transport éolien

A

1 Saltation : soulèvement des grains de tailles moyennes (150-500um) provoque la corrasion et la déflation des matériaux.

2 Roulage : mobilise les grains les plus large (0,5 - 10mm de diamètre) provoqué sur une surface meuble du sol ,provoque des chocs entre particules, on parle de reptation éolienne)

3 : Suspension : provoqué par un mouvement turbulent de l’air, affecte les particules les plus fines (moins de 80um). Celles de moins de 20um peuvent rester longtemps en suspension : poussière (sable du saharah

74
Q

Ablation

A

Se produit par une déflation et une corrasion.

Déflation = prélèvement de grains en surface d’une formation meuble.Laisse a nu des dalles rocheuses (Hamadas ; regs)

75
Q

Corrasion

A

Processus mécanique provoqué par vent violent qui projette des grains en suspension sur un matériau cohérent. L’impact des particules conduit au polissage et à l’abrasion des roches qui présente des surfaces lisses.

Modelés : vertifacts ; yardangs ; kaluts

76
Q

Lit majeur/plaine d’inondation

A

Nécessite une rivière qui coule sur un remplissage sédimentaire qui est un héritage de périodes climatiques révolues.Sa taille s’accroît en aval en fonction du débit. A l’intérieur de la plaine inonable, des bourrelets de rive bordent le lit mineur : formés de matériels fin ils s’exhaussent pendant les débordments. Le lit majeur est dans presque tous les climats doté d’une rypisylve.

77
Q

Lit mineur

A

Etroit, ses caractéristiques physiques (largeur et profondeur) dépendant du débit.

78
Q

Les types de styles fluviaux : explication

A

Dépendent du débit et de la pente.

1 Rectiligne = la géométrie des seuils et des mouilles se modifie lors des crues, l’ensemble migre vers l’aval. , les eaux bien canalisées ont une bonne vitesse et attaquent les berges, au contraire la crue réduit la vitesse par étalement.

2 = méandres : défini par l’indice de Brice qui détermine le seuil de passage de la sinuosité : 2 type méandre libre ou encaissé

3 En tresses : multiples chenau peu sinueux mais instables. Reliés à l’intérieur d’un lit principal. Caractéristique des cours d’eau chargés, à charge de fond abondante et grossières.

4 Anastomose : chenaux multiples, stables enserrent des iles végétales, vitesse d’écoulement faible.

79
Q

La houle se caractérise par

A

Longeur d’onde
Intervalle de temps entre les crêtes
Amplitude
Direction

A l’approche des côtes modification topo et modifs : profondeur < 1/2 longueur d’onde ; changement direction : réfraction

80
Q

Réfraction

A

phénomène qui oriente les lignes de crêtes parralèlement aux isobathes, face à un obstacle il y a réflexion d’onde

81
Q

Diffraction

A

Contournement d’un obstacle par onde et diffusion dans toute les directions

82
Q

Plage

A

accumulation littorales de sédiments meubles sableux. galet = grèves. Matériaux proviennent des continents pportées par fleuve. Les plages ont un profil d’équilibre en pente douce : budget sédimentaires.